Bien que la raison principale d’existence des remèdes est de soigner les malades, voilà qu’on découvre qu’un médicament sur deux s’avère inutile et parfois nocif si l’on ne fait pas attention.
Certains médicaments peuvent s’avérer dangereux
Plusieurs médicaments font actuellement l’objet d’un Plan de Gestion des Risques. Le risque zéro n’existe pas. Il est admissible à condition que le bénéfice soit réel. Il existe des médicaments sous-surveillance d’une manière renforcée. Apparemment, des médicaments sont sous- surveillance renforcés dans le marché des produits pharmaceutiques. Cela est dû à la gravité et à l’importance de leurs effets secondaires. Ce qui pourrait gâcher et mettre en cause leurs efficacités et nuire à leur renom. L’Afssaps affirme pourtant qu’il n’est pas nécessaire d’établir une liste de médicaments dangereux mais, il faut surtout revoir les conditions d’utilisations de ceux- ci et de renforcer le suivi de certains d’entre eux. Quelques fois, il est préférable de renforcer la surveillance, toujours selon cette agence de sécurité des médicaments, pour mieux évaluer les risques possibles et les résultats pouvant être néfastes pour les malades et si besoin est, il faudrait les ôter sur le marché des médicaments et des produits pharmaceutiques.
Le cas du Médiator…
L’affaire du Médiator, a fait que Jacques Servier, patron éponyme du premier groupe pharmaceutique français, soit mis en examen pour des raisons médicales qualifiées d’ »homicides et blessures involontaires ». Ce scandale sanitaire a fait accumuler des vigilances et a impliqué des « présomptions de défaillances graves » dans le système sanitaire français. Des spécialistes ont fini par dénombrer environs, 50 % de médicaments inutiles par le groupe pharmaceutique des laboratoires Servier, dont 5 %, paraissent offensifs.
Le cas du Médiator a éveillé l’attention des connaisseurs et des personnes concernées dans la fabrique des médicaments et ont soutenu l’idée qu’il existe vraiment des médicaments aussi dangereux qu’inutiles.